OUT NOW La nouvelle collection Viva - à partir de 25 exemplaires seulement

Guide de production

Lors de la fabrication, le papier joue bien sûr un rôle central, mais aussi l'encre d'impression, la mise en page et la finition. Pour savoir quel type de papier est le plus adapté à votre projet, quel procédé d'impression est le plus approprié et tout ce dont il faut tenir compte, cliquez ici ou, mieux encore, contactez-nous pour en parler.

Choix du papier

Les papiers couchés et non couchés se différencient par leur surface, leurs propriétés tactiles et leur facilité d’impression. Les papiers couchés disposent d’une surface enduite, les détails pouvant ainsi être représentés avec une infime précision lors de l’impression. Les papiers non couchés ont une surface plus poreuse et des effets tactiles naturels. L’imprimé apparait plus doux, mais moins précis que sur un papier couché. Le papier utilisé pour les carnets et les agendas est un papier non couché, car il dispose de meilleures propriétés d’écriture et d’un toucher plus agréable.

Quand nous imprimons les images dans votre carnet, il s’agit toujours de définir votre projet pour savoir si des photos brillantes ou mates seront plus adaptées. Concernant la technique d’impression, nous optons pour un papier couché (mat ou brillant) afin d’embellir les détails de vos photos. Le papier brillant peut rompre avec l’effet mat des pages en papier non couché prévues pour la prise de note. Mais si vous recherchez plutôt la douceur, une certaine atmosphère et la profondeur, optez pour un papier poreux mat pour un fini sensationnel.

Tout comme sur du papier extrablanc avec une forte teneur de bleu, le papier crème donne un aspect jauni aux illustrés à cause de sa teinte de base jaunâtre, ce qui peut fausser les couleurs et donner un rendu disgracieux, notamment sur les teintes couleur peau. Avec le bon profil d’impression, qui réduira la quantité de jaune, il est possible de contrer cet effet avant l’impression. Nous vous fournirons avec plaisir le profil couleur ICC adapté. N’hésitez pas à nous en parler.

Les bons carnets sont généralement fabriqués à partir de papier au grammage de 90 à 100 g/m². Ce papier est assez solide pour ne pas se froisser lors de l'utilisation d'une gomme, et sa grande opacité garantit le meilleur rendu à votre stylo plume préféré. Pour un carnet de croquis utilisé uniquement pour le dessin ou la peinture, un grammage de papier de 120-150 g/m² est recommandée.

Le grammage joue certes un rôle, mais le volume également. Les papiers non couchés sont plus denses en raison de la compression des fibres durant leur procédé de fabrication. Certains d’entre eux sont même deux fois plus volumineux. Grâce à leur densité et à leurs propriétés tactiles, ces papiers sortent du lot et séduisent d’emblée par leur qualité. Un volume plus conséquent est perceptible au toucher, mais aussi à l’œil grâce au rendu optimal obtenu. Notre papier Premium Munken est 1,30 fois plus volumineux. C’est optimal !

Fichiers d’impression

Contrairement aux écrans qui utilisent le codage de couleurs RVB (rouge + vert + bleu) et sur lesquels sont enregistrés les fichiers exportés à partir d’un appareil photo, les impressions numérique et offset utilisent essentiellement les couleurs CMJN (cyan + magenta + jaune + noir). Les fichiers doivent être convertis dans votre programme de traitement de photos pour que les quatre mécanismes d’encrage de l’imprimante puissent représenter l’illustré. En impression offset, il est possible de compléter cette quadrichromie en rajoutant dans des groupes d’impressions supplémentaires des couleurs spéciales, pouvant être définies sur ordinateur.

Les profils ICC soutiennent la gestion des couleurs lors de la conversion des fichiers. Les profils de sortie donnés compensent les défauts des différents supports d’impression (coloris et propriétés de la surface des papiers) et procèdent à des adaptations de l’espace colorimétrique, qui est beaucoup plus petit à l’impression que sur un écran ou sur un fichier original. À l’aide de valeurs de référence indépendantes des périphériques, il est possible de simuler sur l’écran l’impression finale.

En impression, la saturation maximale peut être atteinte en recourant à des tons directs. En cas de couleurs superposées (CMJN), l’addition des taux d’encrage ne doit pas dépasser 300 % (papiers couchés) et 260 % (papiers non couchés). Cela doit déjà être pris en compte au moment de la préparation du fichier.

Nous préférons opter pour une ligne d’une épaisseur de 0,2 point imprimée en Pantone pour réaliser les grilles de nos carnets (un gris composé en CMJN pourrait causer des problèmes de repérage). Pour les écritures négatives ou réservées, il est préférable d’utiliser des tons directs, au risque de provoquer également des défauts de repérage visibles.

Lors de l’impression et du marquage, la précision du visuel dépend bien évidemment du support. Un papier plus lisse fournira toujours un meilleur résultat qu’un papier très poreux. Un texte en couleur sur une surface en couleur est réservé par le logiciel de création graphique (la surface a des trous à l’endroit où le texte sera placé). Afin d’éviter les filets blancs, causés lorsque les couleurs ne sont pas imprimées exactement les unes sur les autres, il est conseillé de réaliser un recouvrement (grossi). Si les textes sont d’une couleur beaucoup plus sombre que le fond, la surimpression est préconisée pour obtenir le meilleur rendu possible.

Procédés d'impression

En général, plus le tirage est bas, plus l’impression numérique sera rentable, car aucune plaque d’impression ne doit être créée et la machine est calibrée plus rapidement. À partir de 200 exemplaires, l’impression offset est normalement moins coûteuse. La gamme de papiers pour l’impression offset est plus large que pour l’impression numérique, bien que de plus en plus de fabricants fassent tester et certifier leurs papiers pour les imprimantes numériques. La surface des papiers d’impression numérique est scellée, car ils sont enduits d’une couche pour permettre une meilleure adhérence de l’encre et le taux d’encrage est plus élevé. Même sur un papier non couché, la surface semble lisse et légèrement brillante lors de l’application de la couleur, alors que les encres d’impression offset ont tendance à être absorbées par le papier, ne changeant en rien les sensations tactiles de la surface. Cependant, une personnalisation est possible lors de l’impression numérique, et non pas en impression offset. C’est avec plaisir que nous vous aidons à peser le pour et le contre pour les types d’impressions possibles votre projet.

Imaginons que vos pages publicitaires sont réparties de manière irrégulière dans le carnet ou que vous avez combiné une illustration et une grille à points sur une même page. Il existe un moyen pour éviter l’impression en 5 couleurs (CMJN pour les images + couleur spéciale Pantone pour les points / carreaux / lignes). En impression offset, nous créons les plaques d’impression à partir d’une trame à modulation de fréquence, appelée trame FM. Ainsi, les points ou les lignes sont rastérisés en 30 % noir, de sorte que les points (classiques sur une trame à modulation d’amplitude) disparaissent. Ainsi, il est possible de renoncer à la couleur spéciale et de faire des économies tout en obtenant un imprimé propre. Cela ne nécessite aucun effort supplémentaire de votre part au moment de la création du fichier.

Dans la phase d’établissement du devis, nous vous fournirons des échantillons d’impression issus de productions comparables à la vôtre et représentatifs de nos exigences en termes de qualité. Réaliser une épreuve de votre motif sur une imprimante offset coûte cher et n’est donc préconisé qu’en cas de couleurs spéciales ou de motifs très critiques. Pendant le processus de production, votre interlocuteur brandbook vérifiera la qualité de l’imprimé avant d’envoyer le projet à notre atelier de production. L’ensemble des exemplaires est néanmoins déjà imprimé. Cependant, en cas de réclamation, il est possible d’éviter des coûts plus élevés, si les modifications sont apportées à cette étape de la production. Si vous disposez d’un délai suffisant large pour votre projet, nous nous ferons un plaisir de vous transmettre ces feuilles pour validation.

Sans possibilités de comparaison, il est difficile de définir le résultat souhaité ou de critiquer le résultat final après coup. Une impression à partir d’une imprimante laser ou une épreuve en basse résolution (imprimante jet d’encre dans les étapes en amont) ne serviront qu’à contrôler l’intégralité de l’imprimé. Ces impressions – pas plus que l’image renvoyée par les écrans – ne sont engageantes en termes de colorimétrie ! Il est donc conseillé de créer une épreuve contractuelle à partir d’une imprimante haute résolution. Certes, elle ne sera imprimée qu’en numérique et ne pourra donc que simuler le rendu ultérieur en offset, mais elle sera engageante en termes de colorimétrie en raison des modifications apportées. L’épreuve doit afficher des bandes de contrôle permettant une vérification technique. Ce n’est qu’à partir de ce document qu’il est possible de procéder aux modifications nécessaires sur l’imprimante. Les couleurs spéciales seront comparées au nuancier correspondant.

Couleur

Il est nécessaire d’utiliser des couleurs spéciales quand l’espace colorimétrique représentable par CMJN est agrandi pour intégrer le champ des couleurs métallisées ou fluo par exemple. Si les couleurs de votre entreprise sont d’ores et déjà définies, il est recommandé d’opter pour un ton direct (préférable à la quadrichromie) afin d’obtenir le même rendu de couleur sur les surfaces. Que vous utilisiez le système Pantone, les couleurs HKS ou le nuancier RAL, nous pouvons utiliser la couleur en tant que référence. Seules les couleurs Pantone (palette de couleur spéciale la plus utilisée au monde en imprimerie) et HKS (système de couleur un peu moins large conçu par trois fabricants allemands de couleurs) sont utilisées en impression offset, les pigments colorés RAL sont, quant à eux, propres aux vernis.

En comparant les couleurs Pantone du nuancier C (coated, soit papier couché) et du nuancier U (uncoated, soit papier non couché), on constate que certaines couleurs ayant la même référence présentent pourtant de fortes différences optiques. Souvent, les couleurs du nuancier U apparaissent plus ternes et délavées, car le papier est poreux, absorbant ainsi un peu plus d’encre. Si l’on souhaite composer un carnet avec du papier non couché et du papier couché, une comparaison des couleurs est inévitable. Il faudra éventuellement opter pour un autre ton Pantone se rapprochant, d’un point de vue optique, de la valeur C.

Les encres fortement pigmentées de la série ANIVA® sont recommandées lorsque les illustrations doivent être représentées le plus précisément possible avec un maximum de détails sur un papier non couché. Une impression classique offset sur du papier non couché provoque normalement un rétrécissement important de l’espace colorimétrique. Les encres fortement pigmentées permettent de pallier cet effet et même d’élargir l’espace colorimétrique. Le fini n’en est que plus beau. N’hésitez pas à demander des conseils à votre interlocuteur brandbook quant à une possible utilisation d’encres fortement pigmentées.

Les encres fluo disposent de pigments spéciaux dotés d’une forte intensité lumineuse. Elles sont appliquées sur le support en couche épaisse comme lors de la sérigraphie. Il faut prévoir deux passages pour obtenir en offset des encres fluo aussi éclatantes et saturées qu’en sérigraphie ou que sur un nuancier Pantone. C’est notamment le cas pour les papiers non couchés. Mais cette méthode est également recommandée pour les papiers couchés aux surfaces enduites.

Oui ! Les particules brillantes perlées donnent à l’encre un effet irisé et peuvent être mélangées à celle-ci. Le système des couleurs Pantone contient également des tons métallisés (doré, argenté et cuivré, mais aussi des couleurs multicolores brillantes et métallisées) qui seront du plus bel effet en particulier imprimés sur un papier couché. La brillance n’est pas totalement comparable à celle obtenue à partir d’un marquage à chaud métallisé, mais les motifs et les demi-teintes réalisables sont beaucoup plus variés.

L’effet d’une photo en noir et blanc peut être renforcé en utilisant une couleur spéciale prédéfinie dans les fichiers. En bichromie, impression d’une encre noire et d’une seconde encre, les détails deviennent beaucoup plus perceptibles. La seconde couleur est sélectionnée en fonction de l’effet recherché. Un ton argenté conférera à l’image une impression d’élégance, alors qu’un ton brun donnera un effet sépia.

En règle générale, dans la fabrication de carnets, nous rencontrons des problèmes lors du pliage, du découpage du corps du carnet et lors de la découpe finale des bordures. C’est justement à ces moments que la pression la plus forte est exercée. Ainsi, il peut se produire un écoulement de la matière, ce qui signifie que l’encre déborde sur les espaces devant normalement rester blancs. Le vernis peut donc être utilisé comme couche protectrice sur les imprimées prenant toute la page et débordant sur la marge ou lorsque le taux d’encrage est de 250 %, voire plus. Le vernis est recommandé sur papier d’impression, alors qu’il n’est pas nécessaire sur le papier non couché (propriétés tactiles du papier non couché sont conservées).

Finitions

Les pages respectent, la plupart du temps, les dimensions des formats normés les plus connus. brandbook a décidé d’optimiser ces formats pour des raisons esthétiques, de sorte qu’une page A5 mesure chez nous 141 mm × 207 mm (au lieu de 148 mm × 210 mm). Nous avons calé nos machines d'impression par rapport à ces dimensions, ce qui signifie que le format A5 pour une couverture aux coins arrondis constitue un format spécial (les coûts étant donc légèrement plus élevés). Vous avez, cependant, toujours la possibilité d’opter pour notre format standard ou pour un format individuel, par exemple le format carré. Dans la fabrication industrielle de carnets, la technique permet d’obtenir des formats de 7,8 cm × 10,8 cm à 26,5 cm × 37,5 cm ; dans la reliure à la main, la marge de manœuvre est encore plus large.

Les photos ou les éléments graphiques des pages illustrées sont de temps en temps à cheval sur deux pages (attention : 2 pages publicitaires sont, en outre, constituées d’un recto à droite et d’un verso à gauche ! Si vous désirez avoir une double page, il vous faudra prévoir quatre pages d’un point de vue technique). La partie gauche et la partie droite ne se trouvent pas toujours sur un même morceau de papier, les feuillets du cahier étant pliés et encartés. Sur un cahier relié composé de 8 pages, seules les pages 4 et 5 sont directement en vis-à-vis ; les autres constituent ces fausses doubles pages. Cela peut provoquer des défauts, certes minimes, mais possibles suite au pliage, donnant un mauvais rendu. Les diagonales devraient être évitées à ces endroits.

Les éléments des fichiers d’impression toujours placés au même endroit par rapport à la marge semblent avoir changé de position dans le produit fini, une fois le carnet relié. La chasse du carnet est plus volumineuse en raison du nombre important de feuillets encartés les uns dans les autres. Après la découpe finale du corps du carnet, les pages intérieures sont un peu plus courtes que les pages extérieures d’un cahier de 16 pages. Ce phénomène est très difficile à atténuer. En rassemblant les informations sur l’épaisseur du papier, il est possible de prévoir cet effet de déplacement et ainsi d’ajuster manuellement les différentes pages.

Les pages illustrées et collées (la reliure cousue étant impossible) individuellement ou dans un cahier de quatre pages disposent d’un bord encollé mince au niveau du pli central (env. 4 à 6 mm). Le centimètre intérieur ne devrait donc contenir aucune information de texte ou d’image importante et la mise en page devrait être ajustée afin que les textes et les photos soient disposés de manière équilibrée sur la page. Cela vaut aussi en cas d’impression des pages de garde avant et arrière également encollées pour être reliées au corps du carnet.

Matériaux de couverture

La papeterie Gmund spécialisée dans le papier à la cuve est située au bord du lac Tegernsee et a conçu avec la série Cotton un papier extrêmement épais 100 % coton. Particulièrement délicat, il dispose d’une texture douce comme un nuage et de propriétés de marquage excellentes, de sorte qu’il est idéal pour les impressions typographiques. Les visuels larges et multicolores sont imprimés avec une précision surprenante. Avec une épaisseur allant jusqu’à 900 g/m², Gmund Cotton fera le carton de couverture parfait pour les carnets de croquis du segment premium. Les quelques couleurs disponibles sont particulièrement bien choisies et vont du gris doux, au bleu clair en passant par le shiny cream. Elles sont toutes à notre goût.

Les papiers surfins se caractérisent par une composition de base de grande qualité, mais ils sont également ennoblis par les fabricants, qui rajoutent sur les surfaces des effets structurants innovants. La série Surbalin est, par exemple, particulièrement jolie en version grains seda, le papier Napura en version Khepera aux grains fins effet bois, et la série F color en version lisse, mais également avec texture à la cuve, toile fine ou métallisée. Les papiers surfins sont généralement très intéressants, car ils peuvent être utilisés comme matériau de reliure, mais également pour les pages de garde avant et arrière.

Notre collection de papiers Colorplan provient du fabricant anglais GF Smith. Ainsi, nous disposons d’un papier teinté de grande qualité et d’une palette de produits impressionnante : 50 coloris à associer à 25 marquages de surface et à 8 grammages, soit 10 000 variantes possibles. En plus d’être parfaitement assorties entre elles, les couleurs portent des noms mignons tels que Sorbet Yellow, Powder Green, Bitter Chocolate ou New Blue.

Les surfaces finition soft-touch sont un vrai plaisir pour les doigts grâce à leur douceur. Comparées aux surfaces lisses, elles offrent, en plus, une meilleure prise en main. Ces finitions ont d’abord été développées pour l’industrie automobile afin d’habiller les tableaux de bord et les autres surfaces de l’habitacle. Entre-temps, certains appareils ménagers et housses de smartphones et de tablettes numériques disposent également de ces surfaces à finition soft-touch. C’est en toute logique que nous souhaitions vous proposer cet effet pour vos carnets. Le toucher finition soft-touch s’obtient de différentes manières : (1) Les couvertures rigides sont recouvertes d’un des matériaux à finition soft-touch connus tels que le Senzo ou le Mano. (2) Les cahiers sont recouverts en aval d’un pelliculage à finition soft-touch. (3) Si vous préférez miser seulement sur quelques touches, optez pour le vernis finition soft-touch. Trop compliqué ? Contactez-nous par téléphone et nous vous conseillerons quant à la technique optimale pour votre carnet.

Beaucoup de papiers surfins et de similicuirs offrent des résultats exceptionnels lors d’un gaufrage ou d’une impression à chaud, mais les matériaux thermoréactifs vont bien au-delà encore. Grâce à l’application de la chaleur au moment du marquage, le matériau de couverture est teint ton sur ton et les motifs imprimés affichent des contrastes bien définis et des bordures très nettes. Même les écritures et les motifs les plus fins offrent un fini plus que convaincant. Pour les papiers, nous conseillons le Napura, un papier naturel et robuste composé de fibres fines et claires ; pour les similicuirs le Vivella, un matériau thermoréactif épais, doux et au toucher agréable.

Noir et en cuir, voilà a priori la description classique d’un carnet. Pourtant, les alternatives ne manquent pas. Faites votre choix parmi des papiers et des cartons complètement naturels, comme le papier exceptionnel Bier de Gmund, fabriqué à partir de résidus de la production de bière. Look simple, vivant et authentique garanti ! Ou optez pour une toile naturelle non teintée dont la structure ressemble à de la toile de jute finement tressée. Le tout dernier carton de reliure portant le nom charmant « Heidi », tout droit sorti de la papeterie Gmund au bord du lac du Tegernsee, vient confirmer cette tendance. Notre conseil : vous obtiendrez un effet très sophistiqué avec une impression métallique subtile couleur cuivre ou bronze.

Il y a toile et toile. Ce matériau recèle étonnamment de propriétés très différentes à découvrir : toile Buckram enduite acrylique pour un maximum de solidité et de protection contre les rayures, toile aux effets scintillants, toile teintée en tissu Canvas à grain épais, toile en viscose lumineuse, toile fine lissée, toile avec effets duo de couleurs changeantes, toile naturelle non teintée, toile imperméable, toile Dubletta naturelle grisonnante, toile Chromo enduite métallique mat. Si vous désirez une couleur bien particulière, nous nous ferons un plaisir de teindre la toile selon vos goûts.

De plus en plus de clients prennent leurs distances vis-à-vis de carnets fabriqués en cuir authentique. Ce n’est pas étonnant, car c’est complètement tendance. Les fibres de cuir, notamment, sont idéales pour remplacer le cuir authentique. Obtenues à partir de chutes de cuir remises en état, elles disposent de caractéristiques tactiles complètement similaires et d’une odeur agréable. Produit naturel beige ou anthracite, surface noir mat classique ou brillante avec effet satiné, cuir fin ou épais : l’éventail des reliures disponibles est large. À partir de 500 exemplaires, il est possible de teindre les fibres de cuir en couleurs Pantone pour les assortir aux couleurs de votre entreprise.

Durabilité

Le papier est la matière première la plus utilisée en termes de quantité dans la fabrication des livres. La fabrication de papier recyclé consomme environ deux tiers d’énergie, d’eau et de CO2 en moins que celle du papier vierge. D’un point de vue environnemental, le papier recyclé est définitivement le bon choix. Le label Ange bleu garantit que les fibres de papier sont issues à 100 % de papier de récupération et qu’aucune substance chimique ou azurant optique n’a été rajouté. Nos forêts sont protégées, car aucun arbre n’est abattu et, ainsi, l’habitat si précieux des animaux et des plantes est préservé. Forest Stewardship Council, abrégé FSC, est un système de certification reconnu dans le monde entier distinguant le bois et l’industrie du traitement du bois (à laquelle les fabricants de papiers et les imprimeries appartiennent également). La plupart des organisations environnementales, de protection de la nature et des droits de l’homme soutiennent cet objectif pour une sylviculture responsable et durable. Les deux labels font office de standards et apportent une contribution essentielle à la conservation de nos forêts dans le monde entier en imposant des contrôles stricts des critères sociaux et écologiques !

En règle générale, notre papier recyclé préféré, Enviro Polar, peut être imprimé comme les autres papiers non couchés. Lors de l’impression d’une surface de couleur ou de photos, il est important de noter que le recto diffère légèrement du verso, donnant ainsi un rendu différent. La teinte très subtile du papier peut être compensée à l’aide du profil ICC adapté.

Les encres pour l’impression offset contenaient à l’origine des huiles minérales utilisées comme liants, mais entre-temps ils sont également disponibles en origine végétale. En outre, la résistance à l’abrasion est meilleure qu’avec des encres d’impression classiques. Les avantages ne s’arrêtent pas là pour les imprimeurs : les intervalles de lavage sont largement plus espacés et il n’est plus nécessaire de procéder à des réglages ultérieurs du mécanisme d’encrage. C’est la raison pour laquelle nous trouvons que les encres écologiques sont les meilleures !

Un comportement responsable vis-à-vis du bilan climatique est requis ! Opter pour un bilan climatique neutre lors du traitement de votre commande ne générera aucun effort ou délai supplémentaire de votre part. N’hésitez pas à nous en parler, c’est avec plaisir que nous vous conseillerons. Nous calculerons les émissions de CO2 propres à votre commande et le montant correspondant à la compensation. En contrepartie, vous pourrez apposer le logo « impression climatique neutre » sur votre produit imprimé et vous recevrez un certificat attestant de la quantité totale d’émissions de CO2 compensées. Avec un ID, vos clients peuvent retracer la production et découvrir la quantité de CO2 compensée.

Nous nous ferons un plaisir de vous conseiller personnellement !

Appelez-nous au +49 (0) 69 40 80 90 120
ou écrire un mail à [email protected]